Comment une visite et deux semaines d’ingénierie ont révélé un potentiel d’économies que personne n’avait vu venir
Pierre Dubois* regardait sa facture d’électricité de novembre dernier avec un pincement au cœur. Encore une augmentation. Propriétaire d’une usine de transformation alimentaire de 150 employés à Trois-Rivières, il savait que ses coûts énergétiques grimpaient plus vite que ses revenus.
« On fait attention, on éteint les lumières, on surveille nos équipements… mais on dirait que ça ne suffit jamais », nous confiait-il il y a six mois lors de notre première rencontre.
Aujourd’hui, Pierre économise plus de 35 000 $ par mois sur ses factures énergétiques. Et ce n’est que le début de son histoire.
La réalité cachée de 80 % des usines québécoises
L’histoire de Pierre n’est pas unique. En fait, elle représente la réalité de la plupart des industriels québécois que nous rencontrons. Derrière chaque usine qui fonctionne « normalement » se cache souvent un potentiel d’économies énergétiques insoupçonné.
Pourquoi ? Parce que nos systèmes industriels ont été conçus à une époque où l’énergie coûtait trois fois moins cher qu’aujourd’hui les technologies ont évolué. Parce que nos équipes, expertes dans leur métier, n’ont jamais eu la formation pour déceler les gaspillages énergétiques. Et parce que, soyons honnêtes, quand tout fonctionne correctement, on ne cherche pas nécessairement à optimiser.
Le problème, c’est que pendant qu’on pense que tout va bien, nos systèmes gaspillent. Ils rejettent de la chaleur qu’on pourrait récupérer. Ils consomment à plein régime même quand la production ralentit. Ils fonctionnent de façon inefficace, simplement parce que personne n’a pris le temps de regarder, analyser et optimiser l’ensemble du portrait.
L’électrochoc de Pierre : « Je n’en revenais pas »
Revenons à Pierre. Quand notre équipe de spécialistes de Soteck Clauger est arrivée dans son usine pour réaliser ce qu’on appelle un « Audit Flash », il ne s’attendait pas à grand-chose. « J’étais curieux, mais je me disais qu’on allait peut-être trouver 2-3 petites affaires à améliorer. »
En deux semaines, nos spécialistes ont passé son usine au peigne fin. Pas juste regarder les factures ou faire le tour des équipements. Une analyse systémique complète : flux de production, systèmes de chauffage et de refroidissement, traitement d’air, récupération de chaleur, gestion des pics de consommation.
Le résultat ? Quinze opportunités d’amélioration identifiées. Des petits projets de 15 000 $ avec un retour sur investissement de 8 mois. Des projets moyens de 150 000 $ qui se remboursent en 3 ans. En gros 80 000 $ de gains et 450 000 $ de subventions que Soteck Clauger a garantis et gérés.
« Je n’en revenais pas », se souvient Pierre. « Ils m’ont montré que ma chambre froide principale rejetait assez de chaleur pour chauffer la moitié de mon usine et de mon entrepôt l’hiver. Que mes compresseurs d’air tournaient à vide 40 % du temps. Que je pourrais préchauffer mon eau de production et de lavage avec la chaleur de mes fours. »
Au-delà des économies : un plan de match sur 10 ans
Ce qui a le plus impressionné notre client, ce n’est pas seulement l’ampleur des économies possibles. C’est la vision à long terme qu’on lui a présenté.
Parce que réduire ses coûts énergétiques, c’est bien. Mais se préparer aux hausses inévitables des prochaines années, c’est encore mieux. La taxe carbone va tripler d’ici à 2030. Les coûts de l’électricité suivent une courbe ascendante de 5 % par année. Et les programmes de subventions gouvernementales, bien que généreux actuellement, ne dureront pas éternellement.
Nous avons donc élaboré avec Pierre un plan de décarbonation étalé sur sept ans.
Les premiers projets, ceux avec les meilleurs retours sur investissement, financent les suivants. Les économies générées chaque année permettent de réinvestir dans de nouveaux projets d’optimisation.
« C’est comme si on m’avait donné une feuille de route vers l’indépendance énergétique », explique Pierre. « Je sais exactement où je m’en vais, combien ça va coûter, combien ça va rapporter, et quand ça va se faire. »
Le défi du financement : comment ne pas bloquer son capital
Une des préoccupations principales de Pierre était le financement. Investir 1,2 million sur 5 ans dans des projets énergétiques, c’est 1,2 million de moins disponibles pour moderniser ses équipements de production ou développer de nouveaux produits.
C’est là qu’intervient notre modèle de financement innovant. Plutôt que Pierre investisse son propre capital, nous finançons nous-mêmes certains projets. Il nous rembourse avec les économies générées. Résultat : son flux de trésorerie reste positif dès le premier mois, et il garde son capital pour son cœur de métier.
« Au final, je n’ai rien sorti où voir très peu de mes poches, et j’économise de l’argent dès le premier jour », résume Pierre. « C’est du jamais vu. »
Pour les projets de plus grande envergure, nous travaillons également avec La SOFIAC, un fonds de 200 millions de dollars spécialement créé pour financer la décarbonation industrielle au Québec. Leur mission : aider les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de 25 %.
- Économies mensuelles : 35 000 $ (420 000 $ par année)
- Réduction des émissions de GES : 26 (objectif initial : 30 % d’ici 2030)
- Retour sur investissement moyen : 2,1 ans
- Amélioration de la productivité : Un bonus inattendu grâce à l’optimisation des systèmes
La technologie au service de la performance
Un an après le début de son parcours d’efficacité énergétique, Pierre a accès à quelque chose qu’il n’aurait jamais imaginé : une vision en temps réel de tous ses flux énergétiques.
Grâce à notre plateforme MyPortal 3E, il peut surveiller la performance de chacun de ses systèmes depuis son bureau ou même de chez lui. Il reçoit des alertes quand quelque chose ne fonctionne pas optimalement. Il peut comparer ses performances d’un mois à l’autre, identifier les tendances, anticiper les besoins de maintenance.
« Avant, je découvrais les problèmes quand je recevais ma facture d’électricité. Maintenant, je les vois en temps réel et je peux les corriger immédiatement. »
Cette approche préventive lui a déjà évité deux pannes majeures qui auraient pu lui coûter des dizaines de milliers de dollars en arrêts de production.
Les résultats parlent d’eux-mêmes.mQuinze mois après notre première rencontre, les résultats chez Pierre dépassent toutes les attentes . Mais ce qui rend Pierre le plus fier, c’est autre chose :
« Mes employés sont fiers de travailler pour une entreprise qui prend ses responsabilités environnementales au sérieux. Et mes clients aussi. J’ai même décroché deux nouveaux contrats parce que mes clients voulaient travailler avec une entreprise engagée dans la réduction de son empreinte carbone. »
Pourquoi la plupart des entreprises attendent-elles ?
Si les résultats sont si probants, pourquoi plus d’entreprises ne sautent-elles pas le pas ?
La réponse est simple : l’efficacité énergétique souffre encore d’une image de « nice to have » plutôt que de « must have ». Beaucoup de dirigeants pensent encore que c’est compliqué, coûteux, et que les retours sur investissement ne sont pas assez intéressants.
Cette perception est compréhensible, mais dépassée. Elle date d’une époque où l’énergie coûtait effectivement moins cher, où les technologies d’optimisation étaient moins avancées, et où les programmes de financement étaient inexistants.
Aujourd’hui, la donne a complètement changé. L’efficacité énergétique est devenue un avantage concurrentiel majeur. Les entreprises qui tardent à s’y mettre risquent de se retrouver désavantagées face à leurs concurrents plus agiles.
L’expertise qui fait la différence
Ce qui distingue une démarche d’efficacité énergétique réussie d’une démarche décevante, c’est l’expertise.
Pas seulement l’expertise technique, bien que ce soit essentiel, mais aussi l’expertise en gestion de projet, en financement, en navigation dans les programmes de subventions, et en accompagnement du changement.
Chez Soteck Clauger, nous combinons les 50 ans d’expertise du groupe Clauger avec une connaissance approfondie du marché québécois de plus de 30 ans. Nous maîtrisons autant les aspects techniques que les aspects financiers et réglementaires. Et surtout, nous assumons la responsabilité des résultats grâce à nos garanties de performance.
Quand nous promettons 25 % d’économies, nous nous engageons contractuellement à les livrer. Si nous n’y arrivons pas, nous compensons la différence.
Le multisite : démultiplier l’impact
L’histoire de Pierre prend une nouvelle dimension quand on sait qu’il possède également une usine en Ontario et qu’il envisage d’en ouvrir une troisième au Nouveau-Brunswick.
Notre approche multisite lui permet maintenant de comparer les performances énergétiques de ses différentes installations, d’identifier les meilleures pratiques d’un site pour les appliquer aux autres, et d’optimiser ses investissements à l’échelle de son groupe.
« C’est comme avoir un tableau de bord consolidé de toutes mes opérations », explique Pierre. « Je peux voir d’un coup d’œil quelle usine performe le mieux, où sont les opportunités d’amélioration, et comment répartir mes investissements pour maximiser l’impact global. »
L’urgence climatique rencontre l’opportunité économique
Pierre fait partie de ces entrepreneurs visionnaires qui ont compris que la transition énergétique n’est pas qu’une contrainte réglementaire ou une obligation morale. C’est une opportunité économique majeure.
Pendant que certains subissent les hausses de coûts énergétiques, lui les a transformées en avantage concurrentiel. Pendant que d’autres s’inquiètent des réglementations environnementales de plus en plus strictes, lui s’y est préparé à l’avance.
« Dans 5 ans, quand mes concurrents vont être obligés de faire ce que j’ai fait volontairement aujourd’hui, je vais avoir 5 ans d’avance sur eux », prédit Pierre. « Et ça, c’est inestimable. »
Votre histoire pourrait ressembler à celle de Pierre
Chaque entreprise est unique, avec ses propres défis et ses propres opportunités. Mais une chose est certaine : derrière chaque usine qui fonctionne « normalement » se cache un potentiel d’optimisation énergétique insoupçonné.
La question n’est pas de savoir si ce potentiel existe chez vous. La question est de savoir quand vous allez décider de le découvrir.
Notre Audit Flash, c’est exactement ce que Pierre a vécu : une analyse complète de votre site en deux semaines, un plan d’action détaillé sur plusieurs années, et une feuille de route claire vers l’efficacité énergétique.
Deux semaines qui peuvent transformer les 10 prochaines années de votre entreprise.
Le premier pas est toujours le plus difficile
Pierre hésite encore quand il repense à sa décision de nous faire confiance il y a 15 mois. « Je me demandais si c’était vraiment nécessaire, si ça valait la peine de déranger nos opérations pour une étude de plus. »
Aujourd’hui, quand on lui demande quel conseil il donnerait à un entrepreneur dans sa situation d’alors, sa réponse est sans équivoque : « Fais-le. Fais-le maintenant. Chaque mois que tu attends, c’est de l’argent qui sort par les fenêtres. »
Votre histoire d’efficacité énergétique peut commencer dès la semaine prochaine. Il suffit d’un appel pour déclencher votre Audit Flash et découvrir le potentiel caché de votre entreprise.
Petit secret entre nous : Pierre Dubois, c’est un pseudonyme. Notre vrai client préfère garder l’anonymat – et on le comprend !
Quand on économise 35 000 $ par mois, on n’a pas nécessairement envie que toute l’industrie le sache.
Certains secrets d’affaires, ça se protège ! Discrétion assurée, résultats garantis !
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Parce que votre prochaine opportunité d’affaires se cache peut-être dans votre facture d’électricité.